dimanche 7 avril 2013

POEME



Une dette non remboursable

Je demande pardon à toutes nos mères
Raison de notre existence.
Mère noble, mère responsable, mère exemplaire !
Combien de nuit sans sommeil ?
Combien de mois de souffrance ?
Combien d’années de surveillance ?
Trop de mal, tant de peines !
Je n’ai pas les mots, ni la réponse qu’il te faut.
Et puis, depuis tout petit, tu t’es occupé de moi :
Me tenir dans tes bras, me porter sur le dos,
Me nourrir, m’habiller, je n’étais qu’un fardeau.
A qui dois-je tout cela ? A toi seule Maman.
Tu as toujours défendu ma cause en me mettant dans des bonnes conditions, Merci pour tout ce que tu as fait pour moi !
Même-si je te donne tout l’argent, l’or ou le diamant du monde je ne pourrais jamais te payer.
Que le Seigneur te récompense, Maman !
Même-si je t’amène à la Mecque ou que je te construise un château je ne pourrais jamais te payer.
Que Dieu te récompense, Maman !
Saches que je suis reconnaissant et je te demande pardon.
De tous mes rappels, sans toi dans ma vie, je n’ai pas repères,
Dépourvu de valeurs, l’absence d’une mère, ô Maman pardon.
J’implore tes bénédictions, j’invoque tes prières !
Mes frères et sœurs, d’ici et d’ailleurs, sachez qu’il ya pas deux comme une mère. La seule à nous comprendre, à nous entendre, à nous écouter, à nous aimer, à nous guider.
Qui que tu sois, elle attend de toi : respect et obéissance.
Un jour tu auras ses bénédictions pour réussir dans la vie.
Je ferais tout ce qu’il faut pour qu’un jour tu puisses être fier de moi, Maman ! Oui, fier de moi !
Je traverserais le Niger à la nage bravant l’hippopotame, le crocodile pour tout simplement te rejoindre Maman chérie.
Je me battrais contre vents et vagues pour venir à ton secours.
Je déplacerais les montagnes pour la martyre de mon âme.
Je fais appel aux Amériques, à l’Europe, au Vatican, au Pape François.
Je fais appel à la Kaaba, aux Imams de la Mecque et Médine.
Je fais appel Gourou de l’Inde, au Lama de Tibet et aux 333 Saints de Tombouctou !
Pour parfumer le chemin  du bien être de cette noble Mère !

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